Accumulating
evidence indicates that therapies designed to trigger apoptosis in tumor cells
cause mitochondrial depolarization, nuclear damage, and the accumulation of
misfolded protein aggregates, resulting in the activation of selective forms of
autophagy. These selective forms of autophagy, including mitophagy,
nucleophagy, and ubiquitin-mediated autophagy, counteract apoptotic signals by
removing damaged cellular structures and by reprogramming cellular energy
metabolism to cope with therapeutic stress. As a result, the efficacies of
numerous current cancer therapies may be improved by combining them with
adjuvant treatments that exploit or disrupt key metabolic processes induced by
selective forms of autophagy. Targeting these metabolic irregularities
represents a promising approach to improve clinical responsiveness to cancer
treatments given the inherently elevated metabolic demands of many tumor types.
To what extent anticancer treatments promote selective forms of autophagy and
the degree to which they influence metabolism are currently under intense
scrutiny. Understanding how the activation of selective forms of autophagy
influences cellular metabolism and survival provides an opportunity to target
metabolic irregularities induced by these pathways as a means of augmenting
current approaches for treating cancer.
Source: Implications of
therapy-induced selective autophagy on tumor metabolism and survival. Hughson
LR, Poon VI, Spowart JE, Lum JJ (jjlum@bccancer.bc.ca).
Int J Cell Biol. 2012;2012:872091.
Free
paper available at:
Les données s’accumulent qui indiquent que les
thérapies visant à déclencher l'apoptose dans les cellules tumorales provoquent
la dépolarisation mitochondriale, des dommages nucléaires, et l'accumulation
d'agrégats de protéines mal repliées, conduisant à l'activation de formes sélectives
d’autophagie. Ces formes sélectives la mitophagie, la nucléophagie, et
l'autophagie médiée par l’ubiquitine, contrecarrent les signaux apoptotiques
par leur suppression des structures cellulaires endommagées et par leur reprogrammation
du métabolisme énergétique cellulaire en vue de composer avec le stress thérapeutique.
En conséquence, l’efficacité de nombreuses thérapies contre le cancer actuelles
peut être améliorée en combinant celles-ci avec des traitements adjuvants qui
exploitent ou perturbent les processus métaboliques clés induits par les formes
sélectives d'autophagie. Le ciblage de ces irrégularités métaboliques
représente une approche prometteuse pour améliorer la réactivité clinique aux
traitements du cancer, compte tenu des exigences métaboliques élevées de
nombreux types de tumeurs. Dans quelle mesure les traitements anticancéreux promeuvent-ils
certaines formes sélectives d'autophagie et à quel degré influencent-ils le
métabolisme ? Comprendre comment l'activation de formes sélectives de
l'autophagie influence le métabolisme cellulaire et la survie pourrait donner
l’occasion de cibler les irrégularités métaboliques induites par ces voies afin
d'améliorer les approches actuelles pour le traitement du cancer.
Article (en anglais) librement accessible à
l’adresse :
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3328951/pdf/IJCB2012-872091.pdf
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire