dimanche 18 septembre 2011

Focus: Opportunities and pitfalls of cancer imaging in clinical trials.




Cancer treatment strategies have changed considerably over the past two decades, with increasing emphasis on cancer-specific biological therapies. This situation has led to the incorporation of biomarkers, including those obtained by medical imaging, into trial designs to better understand mechanisms of action and, hopefully, to provide early evidence of treatment efficacy at a molecular or physiological level. Unlike blood tests and tissue samples, an imaging biomarker allows assessment of treatment in the whole tumor, in all tumors in the body, and at multiple time points. This situation has increased the complexity of clinical trials, as each imaging modality has issues related to cost, ease of use, patient compatibility, data analysis, and interpretation. This article reviews strengths and limitations of the current imaging methods available in clinical cancer trials, including MRI, CT, PET, and ultrasonography. The information gained by each test, and the difficulties in acquiring the data and interpreting it are also discussed in order to help researchers plan imaging in clinical trials and interpret data from such studies.

Source: Opportunities and pitfalls of cancer imaging in clinical trials. Bruno Morgan (bm11@le.ac.uk). Nature Reviews Clinical Oncology 8, 517-527 (September 2011)  

Les stratégies de traitement du cancer ont considérablement changé au cours des deux dernières décennies, avec un intérêt croissant pour les thérapies biologiques cancer-spécifiques. Cette situation a conduit à l'incorporation de biomarqueurs, y compris ceux obtenus par l'imagerie médicale, dans les conceptions d'essais cliniques visant à mieux comprendre les mécanismes d'action et à fournir des preuves précoces de l'efficacité des traitements à un niveau moléculaire ou physiologique. Contrairement aux tests sanguins et aux échantillons de tissus, un biomarqueur d'imagerie permet d'évaluer le traitement de la tumeur entière, dans toutes les tumeurs présentes dans le corps, et à plusieurs moments. Cette situation a accru la complexité des essais cliniques, étant donné que chaque modalité d'imagerie donne lieu à des questions relatives au coût, à la facilité d'utilisation, à la compatibilité des patients, à l'analyse et à l’interprétation des données. Le présent article examine les forces et les limites des méthodes d'imagerie actuellement disponibles pour les essais cliniques sur le cancer, y compris l'IRM, la tomographie par ordinateur, la tomographie par émission de positons, et l'échographie. Les informations obtenues par chaque test, et les difficultés dans l'acquisition des données et leur interprétation sont également discutés afin d'aider les chercheurs à planifier l'imagerie dans les essais cliniques et à interpréter les données de ces études.

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